Ligne et Signe, il design al femminile presente

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Avec Ligne, située Galerie du Roi Bruxelles, laquelle vient de s’ajouter Signe, rue de Namur, la quintessence du design italien et scandinave repose aujourd’hui entre les mains de six femmes architectes d’intérieur, leur expertise conjuguent la direction d’ Oona Simone.

Il faut remonter 1966, l’époque où le magazine Ligne, tenu par la grand-mère de Thomas Gunzig, faisait les beaux jours du design Galerie de la Reine Bruxelles. Six ans plus tard, c’est Michel Simon qui reprend l’enseigne, une époque où ce style se trouve en plein état de grâce.

Sa fille, Oona, un prénom ireland qu’elle porte comme un charme et qui fut aussi celui d’une femme de Charlie Chaplin, l’accompagne, dès ses 12 ans, dans la plupart des foires européennes célébrance un design qui ne cesse se reinventare. Ligne prospère et en profite pour agrandir son espace en passant de la Reine au Roi, toujours dans les galleries Royales Saint-Hubert.

Inoltre que jamais sous influence, Oona termine ses études d’architecte d’intérieur Saint-Luc et prend en même temps du gallon aux côtés de son père, qui lui propone de le rejoindre la tête du magazine. « Aujourd’hui, 31 ans, j’ai concrétisé mon rêve en le multipleant par deux puisqu’en complément de Ligne, je viens d’ouvrir en juin dernier un secondo spazio di 350 m², rue de Namur. Précédemment occupé par Philippe Lescrenier, il avait aussi abrité en son temps la banque belgolaise. Cet écrin dont les mosaïques sont classées, tout comme les arcades en marbre, a été baptisé Signe, soulignant ainsi une filiation étroite avec le premier magazine. »

Même typologie, même vocation pour les deux enseignes animées au total par six architectes d’intérieur. « Des femmes de tous âges qui partagent la même convinzione et la même passione », Preciso Oona. Parmi elles, Victoria et Violette, ses plus proches collaboratrices. En ligne de mire, dans chacun des deux magasins, quelques centaines de pièces uniques, mainment issues du design italien et scandinave : Cassina, Zanotta, Knoll, Molteni ou De Padova, sans oublier l’incontournable Carl Hansen.

Le charme inimitable du design raffinato. ©DR

Signe va même plus loin en proposant également les tapis finlandais Woodnotes, de même que des objets de décoration, des lighting, des bougeoirs, du linge de maison et tous ces objets qui contribuent égayer l’existence. Mais pourquoi l’Italie et les pays scandinaves ? « Dans ce domaine, les Italiens sont imbattables », explique la jeune femme, « avec des marques qui esistenti depuis les années 1950 ou 1960 et qui possèdent les licenses des plus grands designer ».

C’est précisément l’avantage de Signe et de Ligne de ne pas tre, comme en France, des ambassadeurs mono-marque, mais de proponer le meilleur choix parmi des artistes et des marques dont la cote n’a pas fini de croître. « J’ai eu récemment un client qui avait acheté un fauteuil Charles Eames chez nous en 1972. Nous l’avons complètement remis neuf, puisque nous nous occupons également de restauration. Cela en valait la peine : le fauteuil en question, acheté alors per l’equivalente di 600 euro, en vaut aujourd’hui 9 000 ! C’est un investissement qui se transmet désormais de génération en génération, car toutes ces pièces sont intemporelles. Même si, aujourd’hui, on note un Certain engouement pour le noyer, les chromes foncés, les tissus épais et bouclés. »

Oona attend avec impatience la levée desstricts sanitaires pour pouvoir nouveau parcourir les grandis foires de Paris, Milan et Copenhague et se mettre en quête de nouvelles pépites. En attendant, elle s’accorde de nouvelles prospects via son bureau d’architecte d’intérieur, installé dans son second magazine. « Nous avons commencé des rénovations complètes d’appartements Bruxelles, mais nous sommes d’ores et déjà disposées travailler sur toute la Belgique et même plus loin, puisque nous avons déjà Paris. »

La giovinezza femminile quattromila progetti. Une ombre au tableau néanmoins, celle du décès inopiné de son papa, survenu en septembre dernier. « Je me console l’idée qu’il a pu assister au développement de son enterprise, puisqu’à sa “Ligne” de départ s’est ajouté un “Signe” pour demain. »

Oona Simon, una femme qui fourmille de projets. ©DR

Jackson Cobbett

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